Informatique

Est-il facile de choisir un progiciel ?

Contrairement aux idées reçues, choisir un progiciel n’est pas une chose si facile qu’elle peut en avoir l’air.

Assistance au choix de progiciels

Tout d’abord et comme toujours cela nécessite la rédaction préalable d’un cahier des charges. Pour ce faire, nous disposons d’une méthodologie éprouvée par de nombreuses années d’expérience.

Ensuite, la principale difficulté sera bien entendu d’arriver à faire la part des choses entre le discours commercial et les capacités réelles du produit. Outre le fait de faire la part des choses, il convient de pouvoir tracer tout ce qui sera dit dans les échanges avec les éditeurs ainsi que les modalités de choix.

La méthode AMJ-groupe de choix de progiciel comporte ainsi un double système de traçabilité.

L’autre grande difficulté à gérer concerne les appels incessants des éditeurs qui souhaitent savoir où en est leur dossier.

Autant d’éléments qui militent en faveur d’une assistance au choix de progiciels.

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Intégration de progiciels

Un progiciel est un outil de travail au service des utilisateurs et de l’entreprise. Les principaux objectifs de la mise en place d’un progiciel sont les suivants :

  • optimisation de la productivité de vos utilisateurs,
  • pilotage de votre activité.

De manière générale, l’implémentation d’un progiciel ne se réduit pas à des phases d’installation et de formation. En effet, il s’agit d’un projet complet comprenant des étapes qu’il convient de respecter, afin d’en assurer la réussite.

Choisir et mettre en place un progiciel

Dans ce cadre, AMJ peut vous assister lors des différentes phases de la mise en place de vos progiciels, en se basant sur une méthodologie éprouvée :

En ce qui concerne le planning, AMJ prévoit aussi bien les charges des intervenants au sein du fournisseur du progiciel que celles de vos chefs de projet et utilisateurs, afin que le planning établi tienne compte des disponibilités de vos équipes.

Le planning doit également comporter des phases distinctes ainsi que des jalons, associés à des indicateurs d’alerte.

La définition du planning permet de maîtriser les étapes du projet, ainsi que les coûts et délais associés.

Par ailleurs, la validation des livrables par vos soins est capitale. Elle permet de s’assurer de la conformité face au projet initial et de s’adapter aux nouvelles contraintes. Cela conduit notamment à optimiser le coût du projet.

Schémas directeurs informatiques (SDI)

Votre outil informatique ne sera véritablement performant que s’il fonctionne en phase avec les options stratégiques de votre Direction Générale.

Le schéma directeur informatique a pour point de départ la stratégie d’une entreprise ou d’une direction pour aboutir à la définition d’une cible en matière d’informatique et de système d’information.

Les principales étapes d’un schéma directeur informatique consistent à prendre connaissance de la stratégie, effectuer un bilan de l’existant, exprimer les besoins, définir des priorités, élaborer des scénarios cibles et à définir un plan d’action pour atteindre la cible retenue.

Enfin, le schéma directeur informatique présente l’ensemble des règles générales selon lesquelles cette informatisation doit être conduite, et suivie.

La méthode utilisée par AMJ est dérivée de la méthode RACINES (Rationalisation des Choix InformatiquES) du ministère de l’industrie.

Définissons ensemble une cible en matière de système d’information et d’informatique :

  • Schémas directeurs de fonctionnement,
  • Schémas directeurs informatiques stratégiques,
  • Schémas directeurs informatiques opérationnels,
  • Schémas directeurs micro et bureautique, …

Outre le fait de permettre d’aligner le système d’information sur la stratégie de l’entreprise, il permet de définir toutes les actions à mener sur les 2 à 3 ans à venir.

Il se termine notamment par le descriptif de chacun des projets avec un planning de mise en œuvre très concret et directement opérationnel.

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Plans de continuité d’activité (PCA)

AMJ-groupe effectue des missions de définition de plans de continuité / reprise d’activité depuis plus de 10 ans.

Nos principales prestations dans ce domaine concernent :

  • Elaboration de PCA / PRA
  • Audits de PCA / PRA
  • Assistance aux tests et à la recette
  • Assistance à la formalisation de procédures de mise en œuvre de PCA / PRA
  • Evaluation par rapport au référentiel AFNOR Z74-700
  • Etc…

Nous pouvons aussi étudier :

  • La fourniture de locaux de repli,
  • La mise à disposition de sites de back-up informatique,
  • Et la fourniture de logiciels divers (de gestion de crise, de gestion de documentation,…..

En matière de PCA, AMJ-groupe est totalement indépendant de tout fournisseur de solution qu’il s’agisse de matériels informatiques de secours de logiciels associés ou de locaux de repli.

Les missions de définition de plans de continuité d’activité reposent sur une démarche structurée dans les principales étapes sont les suivantes :

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Urbanisme des systèmes d’information

Vous investissez massivement dans votre outil informatique mais vous avez le sentiment que son rendement n’est pas optimal.

Les missions d’urbanisme de système d’information ont pour but d’étudier et d’optimiser la réactivité, l’homogénéité et la cohérence globale de l’ensemble de votre système d’information.

De façon plus concrète, elles permettent de rationaliser les systèmes d’information et de les rendre plus souples.

Il s’agit principalement d’identifier les redondances d’informations (par exemple : référentiels clients multiples) afin de les réduire, voire de disposer de référentiels uniques. Il en est de même pour les applications qui doivent être uniques. La saisie des informations doit aussi être unique et se faire à la source (pas de redondances de saisies avec les risques d’erreur que cela présente).

Etant donné que l’environnement des entreprises évolue rapidement, elles se doivent d’être toujours plus réactives. Elles doivent donc pouvoir intégrer rapidement de nouveaux logiciels ou de nouvelles applications pour être capables de faire la différence face à la concurrence.

L’urbanisme permet donc au système d’information d’être plus réactif tout en restant cohérent dans son ensemble, ce qui correspond à un enjeu majeur.

En ce sens, l’urbanisme des systèmes d’information doit permettre à l’entreprise de disposer d’un système d’information qui soit à la fois fiable et en phase avec ses objectifs stratégiques.

Il permet au système d’information de s’aligner plus rapidement sur la stratégie. Néanmoins, la démarche qui permettra de définir le contenu des applications /logiciels à mettre en œuvre pour disposer d’un SI aligné avec la stratégie correspond à la démarche de schéma directeur informatique

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Sécurité des systèmes d’information

Sécurité des SI

AMJ-groupe intervient dans le domaine de la Sécurité des systèmes d’information depuis plus de 15 ans. Aujourd’hui, la sécurité est un enjeu majeur pour les entreprises. Les conséquences d’une sécurité mal gérée peut-être catastrophique.

Le système d’information représente un patrimoine essentiel de l’organisation, qu’il convient de protéger. La sécurité informatique consiste à garantir que les ressources matérielles ou logicielles d’une organisation sont uniquement utilisées dans le cadre prévu 1.

Les objectifs de la sécurité des SI sont les suivants :

  1.  Disponibilité
  2.  Intégrité
  3.  Confidentialité

Afin que le système fonctionne sans faille, que les ressources et les services répondent dans les délais impartis ; que les données soient fiables ; que les accès à l’information soit filtrés.

Gérer le risque

Pour sécuriser le SI, la démarche suivante est généralement appliquée :

  1. Cartographier les risques et leur criticité.
  2. Rechercher des solutions, les choisir en fonction du contexte.
  3. Mettre en oeuvre tout ou partie des protections et s’assurer de leur bon fonctionnement.

AMJ-groupe vous accompagne dans ces différentes étapes et réalise pour ses clients divers types de prestations telles que :

1. JF Pillou, Tout sur les systèmes d’information, Paris Dunod 2006.

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Etudes d’opportunité

« Est-il rentable d’investir dans ce projet ? »

Nous vous aiderons à évaluer l’intérêt de l’informatisation d’une activité donnée ou encore de la modification d’une organisation.

Nous vous aiderons à procéder à un premier recueil de besoins afin d’identifier les principales solutions techniques à l’aide de scénarios.

Nous examinerons ensemble les avantages et inconvénients et dresserons le retour sur investissement potentiel.

En effet, l’étude d’opportunité permet de commencer à formaliser :

  • les objectifs du projet,
  • son périmètre,
  • les principaux besoins.

Elle permet également de se prononcer de manière globale sur :

  • les solutions possibles avec leurs avantages et inconvénients,
  • les coûts associés,
  • les délais de mise en œuvre,
  • le retour sur investissement du projet.

De ce fait, elle permet d’aller au-delà de la simple expression de besoin des utilisateurs pour mieux cerner le projet, ses enjeux et ses perspectives de rentabilité.

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Sélection de progiciels

Nous pouvons vous assister dans le choix de vos systèmes et outils pour maîtriser et piloter votre dispositif informatique :

  • Choix technologiques (matériels, réseaux, etc.),
  • Étude de produits,
  • Recherches et choix de progiciels, …

Il s’agit là d’aider à rechercher et/ou trouver un progiciel qui permettra de répondre le mieux possible aux besoins exprimés. En effet, face à la multitude de produits généralement disponibles sur le marché les clients souhaitent souvent sous-traiter ou se faire aider dans les tâches suivantes :

  • Présélection de produits
  • Définition de critères de choix
  • Evaluation des produits
  • Elaboration d’une liste restreinte à 2 ou 3 produits
  • Aide au choix final

Ceci suppose néanmoins que les besoins du client aient déjà été formalisés par écrit. Dans le cas contraire, l’étude de choix devra être précédée de la rédaction d’un cahier des charges ou d’une expression des besoins.

La démarche d’AMJ-groupe possède plusieurs étapes qui permettent de restreindre progressivement le choix pour aboutir au produit le plus adapté. Elle se caractérise notamment par son haut niveau de formalisation ainsi que par sa traçabilité.

Elle permet ainsi d’expliquer à chaque étape les raisons des filtrages successifs. Elle permet également de formaliser les échanges avec les éditeurs afin de permettre de faire reposer les choix sur des éléments tangibles et opposables en cas de besoin. Son fil conducteur correspond ainsi à la réduction des risques et à la sécurisation du choix.

A ce titre, nous rappelons qu’AMJ-groupe est totalement indépendant de tout éditeur de progiciel ce qui vous garantie la plus grande objectivité dans les analyses qui seront effectuées et les choix qui en résulteront.

Un planning, mais pour quoi faire ?

Le planning !

Moto1

Qui dit planning dit tenue du planning. Voilà une charge de travail que je vois souvent supprimée ou trop fortement réduite dans bon nombre de projets. Mais au fait, à quoi ça sert un planning ?

Bien souvent le chef de projet (expérimenté) sur des projets de taille moyenne a en tête les tâches à mener et le besoin d’un planning ne se fait pas nécessairement ressentir.

Il est donc bien entendu possible de mener à bien un projet sans pour autant faire un planning.

Cela est principalement lié à la taille du projet et aux risques que l’on accepte de prendre sur le projet.

Dans la catégorie casse-cou (du genre saut du grand canyon à moto), il y a ceux qui réussissent et ceux qui y laissent leur peau. L’expérience montre que ceux qui réussissent sont justement ceux qui vont le mieux préparer et planifier leur action afin d’anticiper les risques et de les prévenir. Et bien dans les projets informatiques, c’est un peu pareil.

Les bonnes questions à se poser

En effet, l’élaboration d’un planning oblige à se projeter dans le futur, à réfléchir aux tâches à mener ce qui amène naturellement des questions :

  • untel a-t-il bien été prévenu des tâches qu’il va devoir réaliser ?
  • les ressources disponibles sont-elles suffisantes ?
  • les ressources sont-elles sous occupées, sur occupées ?
  • avons-nous bien l’ensemble du budget associé aux tâches ?
  • l’absence de X sur telle période a-t-elle été intégrée ?
  • pour mener telle tâche je vais avoir besoin de telle autre tâche qui n’était pas prévue ?
  • les délais impartis sont-ils réalistes ?
  • manque-t-il des tâches ?
  • etc…

Rien que l’exercice de création d’un planning est déjà riche d’enseignement en matière de gestion prévisionnelle d’un certain nombre de risques.

Un outil de communication

Le planning est aussi , il permet de partager la vision des travaux à réaliser avec l’ensemble des intervenants. Il permet à chacun de visualiser ce qu’il doit faire, de vérifier si des tâches n’ont pas été oubliées et si tout le monde a confiance dans le fait de mener à bien les tâches dans les délais prévus.

Avec le planning vient la gestion prévisionnelle des ressources et charges associées. Il est essentiel de pouvoir suivre régulièrement le taux d’occupation prévisionnel des ressources. Le problème ici est qu’il est souvent tentant pour bon nombre de personnes de ne pas vouloir connaître l’occupation prévisionnelle des ressources. A court terme, il est bien plus facile de ne pas se poser de questions sur les problèmes potentiels plutôt que de faire face à la réalité. Dans le meilleur des cas, les ressources concernées vont alerter. Bien souvent, il n’y a pas d’alerte par rapport aux surcharges de travail et ça dégénère car il est trop tard.

L’autre avantage du planning est qu’il permet de suivre l’avancement des tâches. En effet, tout dérapage est susceptible de remettre en cause la date de fin.

Le suivi du planning sera d’autant plus fréquent que l’on va approcher des phases critiques du projet telles que la mise en production par exemple. Plus on approche de la mise en production, plus chaque intervenant doit être en phase avec ses tâche et plus les dérapages potentiels doivent être rapidement détectés pour être corrigés. C’est un peu comme un avion qui s’apprête à atterrir et qui intensifie son échange avec la tour de contrôle à l’approche de la piste.

Enfin, il permet de visualiser immédiatement les impacts d’un dérapage (ou d’une avance) de tâche et de prévenir les personnes concernées.

Bien sûr cette gestion de planning à un coût qui est directement proportionnel au nombre de tâche, de ressources et à la fréquence de mise à jour.

Le planning est donc un instrument de pilotage essentiel et indispensable à partir d’une certaine taille de projets. Inutile de préciser que cet instrument n’est certainement pas Excel.

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Comment réussir un cahier des charges fonctionnel ?

Du recueil des besoins au cahier des charges

Design d'interface

De notre point de vue, il est essentiel de bien identifier les acteurs qui vont participer à la rédaction du cahier des charges et auprès desquels il sera nécessaire de recueillir les besoins. Ces personnes seront choisies en fonction de leur capacité à identifier et à définir des besoins, ainsi qu’à se projeter dans l’avenir. Il s’agit de personnes qui ont une vue constructive des améliorations qu’il serait souhaitable d’apporter par rapport au fonctionnement actuel.

Bien entendu, ces utilisateurs représentatifs de leurs métiers devront pouvoir dégager le temps nécessaire pour non seulement exprimer des besoins mais également relire des comptes rendus de réunion, lire le cahier des charges et le valider.

Le recueil des besoins est pratiquement un métier en soi. En effet, les utilisateurs ont souvent besoin d’être guidés et la compréhension de leurs besoins doit être constamment vérifiée. Pour cela, diverses techniques peuvent être utilisées comme par exemple :

  • comparaisons par rapport à ce qui se fait chez des confrères,
  • workflow,
  • schémas,
  • maquettes d’écrans,
  • Etc.

Dans le cadre de l’expression des besoins, il arrive parfois que certains besoins exprimés soient contradictoires. Il est dans ce cas très utile de pouvoir disposer d’un représentant des utilisateurs qui dispose du pouvoir de décision en cas de désaccord entre les utilisateurs.

« Fonctionnel… »

Pour le démarquer des cahiers des charges techniques, le cahier des charges qui décrit les besoins est parfois également appelé « Cahier des charges fonctionnel ». Cette caractérisation ne doit cependant pas faire oublier tous les autres types de besoins.

En ce qui concerne les besoins, il ne s’agit pas bien entendu que des besoins fonctionnels. Il est essentiel de traiter également de nombreux autres besoins tels que par exemple les besoins en matière de performances, d’ergonomie ou de sécurité.

La qualité des écrits est bien entendu fondamentale dans le cadre de la rédaction du cahier des charges. Le cahier des charges se doit d’être limpide et sans ambigüité. Pour ce faire, il sera agrémenté d’exemples à chaque fois que possible. A ce sujet, AMJ recommande d’établir notamment une charte rédactionnelle qui servira de guide tout au long de la rédaction du cahier des charges.

La présentation générale est aussi importante, elle doit être jolie et agréable et donner envie au lecteur de lire le document. En aucun cas elle doit rebuter le lecteur.

Il ne faut pas non plus confondre le quoi et le comment. En effet, le cahier des charges tout en étant très structuré doit refléter le besoin métier de l’utilisateur (le quoi). Il ne doit pas exposer des solutions informatiques (le comment) mais des besoins fonctionnels ou métiers.

Les pièges à éviter

Certains pièges sont aussi à éviter, il est essentiel de ne pas non plus tomber dans le syndrome de la recherche de la cible fonctionnelle parfaite qui conduit souvent à définir une usine à gaz. Il convient donc de savoir procéder à des arbitrages lorsque nécessaire afin de ne pas trop complexifier les besoins.

Même s’il est important qu’il soit précis et relativement complet, le cahier des charges n’est pas non plus une spécification fonctionnelle détaillée et il convient de savoir s’arrêter au bon moment pour passer à sa validation.

La validation du cahier des charges est un acte très délicat mais particulièrement important. En effet, les cahiers des charges sont souvent des documents volumineux et peu agréables à lire. L’expérience montre qu’ils sont souvent validés sans être réellement lus ce qui peut s’avérer catastrophique pour le projet. Pour que les cahiers des charges soient lus les utilisateurs doivent disposer d’un temps de validation et la clarté du document contribue aussi largement à sa lisibilité. Le fait de solliciter les utilisateurs pour une signature manuscrite constitue un acte d’engagement fort qui contribue à une réelle validation.

Enfin, il ne faut toutefois pas confondre la réussite du cahier des charges avec la réussite d’un projet qui sont deux éléments liés mais très différents.

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